Je parlerai du critique.
Alors que l’on devrait admettre, une fois pour toutes, que c’est la critique qui est malaisée cependant que l’art, en ces temps un peu fluides, est décidément la chose la plus facile qui soit, il reste de bon ton de dénigrer ce qui devrait être considéré comme un apostolat. Jacques le pratique à ravir.
Il m’est arrivé, je le confesse, de lui trouver parfois une assez forte propension à l’indulgence. D’autant que cette tendance naturelle n’était de sa part ni détachement, ni dédain, ce qui aurait pu, en ces temps un peu âpres, la rendre acceptable. Lire la suite